L’ambiance est fantomatique, l’épave repose au large de Port-Vendres par 45m de fond sur sa quille. La poupe, couchée sur le flanc, est séparée du reste du navire. L’hélice de secours est encore bien visible près du mât de charge arrière, côté bâbord.

Coulée à environ 300 mètres du Saumur, l’ Étoile du Nord repose sur un fond de 38 mètres inclinée sur bâbord. C’est une épave aisément déchiffrable, que l’on peut appréhender dans sa totalité en une seule plongée.

Le site du Cap BEAR est un site abrité par temps de tramontane.A 50 minutes de navigation du BARCARES, il permet de découvrir les fonds de la côte VERMEILLE par fort vent.On a un fond composé de petits tombant, de failles, de patates coralligènes allant de 5 à 26 m de fond, idéal pour se balader.

A dix minutes de navigation au départ d’Argelès-sur-Mer, « Les grottes des contrebandiers » se trouvent au pied du phare mythique du Cap Béar. Cette plongée est accessible à tous les niveaux. La topographie du site est constituée de roches et de grands canyons de coralligènes.

Ce site juste à la sortie de Port-Vendres est très apprécié des plongeurs N1. Il leur permet de réaliser au cours d’une même plongée une épave, une arche et des failles rocheuses.

Ce site appellé aussi La Llose se trouve également juste derrière le Cap Béar, au large de la baie de Paulilles.Vous pourrez y découvrir des reliefs variés composés de blocs rocheux, de failles, de surplombs et de grottes. Si vous cherchez des hôtels à langoustes, c’est ici !

Ce site, au nord de Port-Vendres, est à l’abri du vent du sud et de la Tramontane. Accessible à tous les niveaux, vous y trouverez des nudibranches, gorgones blanches et des langoustes au travers des failles et du coralligène (18 à 20m)

Le Sec de la Daurade, situé au large de Collioure, est un site de plongée prisé pour ses reliefs sous-marins variés et sa biodiversité. Accessible aux plongeurs de niveau intermédiaire à avancé, le site se trouve entre 10 et 25 mètres de profondeur.

Le Cap Gros offre des plongées variées. De deux à trente mètres en passant par la posidonie, les roches avec des tombants, pour finir sur le corralligène.

Construit en 1934, ce cargo assura le transport rapide de fruits durant 5 ans entre les colonies françaises et les ports de Bordeaux et de Nantes.