Il termine sa carrière en servant de but de tir en baie de Cavalaire où il finira par être coulé. Chaudière et machinerie avait été retirés au préalable. L’épave est posée sur un fond de sable et de gravier. Elle est disloquée et se présente en 4 tronçons à peu près intacts mais entrecoupés de parties avachies.

Equipez vous simplement de vos palmes, masque et tuba et partez à l’aventure au milieu des fabuleux herbiers de posidonie. Profitez de la beauté du “jardin des anémones“, étonnez-vous du mystère de l’épave du cimentier. Avec une profondeur maximale de 3 mètres, ce sentier est adapté à tous les nageurs.

Bande rocheuse longue de 200m située entre entre 2 plateaux principalement sablonneux. abrite une faune riche et diversifiée. Ce site de plongée ne manquera pas de vous émerveiller et de vous surprendre.

Vous découvrirez d’abord de belles failles s’enfonçant peu à peu dans la posidonie de la surface à une douzaine de mètres. La visibilité est excellente sur une large partie de sable où les rayons du soleil offre de belles couleurs pour les photos. vous trouverez également de petites cavités.

Contre torpilleur de 56m*6m situé dans la baie de Cavalaire repose sur un fond de sable de 39 m. Il coule le 4 février 1903 lors d’un tentative de remorquage vers le port de Cavalaire suite à échouage sur le sec de Taillat.

Les DUKW sont 3 engins amphibies. La signification de leur nom provient de la terminologie militaire: «D», pour définir l’année1942, «U» pour amphibie, «K»pour toutes roues motrices et «W» pour son train de roues doubles à l’arrière.

Construit en 1873 par les chantiers Gilbert et Cooper (Hull), le navire fût baptisé Elguezabal, Ballesreros n°2, puis Derwent et enfin Ramon Meumbru.Le Ramon mesurait 80 mètres de longueur et 11 de largeur. Sa jauge était de 1153 tonneaux. Il avait une particularité exceptionnelle pour l’époque.

Cette plongée vous fera découvrir le cap Lardier. qui offre avec les rayons du soleil une vue spectaculaire sur la faune et la flore de la Méditerranée. Vous trouverez également un tunnel sous-marin fascinant.

Tombant à une vingtaine de mètres se terminant vers une roche émergente ressemblant à celle d’une dent de requin. Surplombé par un plateau rocheux entrecoupé de petites failles qui permet aux plongeurs débutants de découvrir de nombreuses espèces.

Dans le prolongement de la pointe du Cap Lardier, cette zone rocheuse affleure la surface et descend jusqu’à 25 mètres. C’est un véritable havre pour la faune marine locale.